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Introduction générale

MessagePublié: 24 Sep 2005, 23:58
par Che Khan
Introduction générale

Passionné d'histoire en général et de Moyen Age en particulier, j'évolue dans la sphère de l'animation et la reconstitution médiévale.

J'y incarne un archer mongol vivant à l'époque de la 'Horde d'Or' (1350/1370).

J'ai eu besoin de me documenter afin de réaliser un personnage crédible et historique.

Au fur et à mesure de mes découvertes, les "Peuples Cavaliers" m'ont ouvert leurs trésors et c'est la raison qui m'a poussé à leur dédier ce 'site'.

De nombreux termes, dans ce texte, renvois à d'autres articles proposés par ce site. Le but de ces 'liens' n'est pas de vous distraire à la lecture de cette introduction mais de vous signaler que vous pouvez trouver, sur ce site, de nombreux renseignements complémentaires.

Et maintenant, après ces quelques informations générales, partons ensemble vers les steppes d'Asie centrale.


Groupés injustement sous le nom de "barbares", leur histoire, peu connue en occident, a eu une très grande influence sur tous les peuples sédentaires qui se sont établis autour de leurs empires steppiques (et même jusqu'en Europe).

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Ces steppes et ces déserts qui couvrent une grande partie de l'Asie entre les forêts du nord et les fertiles bassins du sud étaient habités depuis l'âge préhistorique.

L'histoire de ses peuples est mal connue car, étant nomades, ils n'ont pas laissé beaucoup de traces physiques (villes, forts, châteaux, temples, monuments, etc.), signes ordinaire du passage des sédentaires qui pratiquent l'agriculture. Ils ont cependant laissé des objets de bronze, d'argent et d'or d'une étonnante qualité et d'une incroyable sophistication.

Retrouvé la plupart du temps dans les tombes (ou kourganes), on peut citer des haches de bronze de 1500 ans av J-C en Sibérie, du bronze et de l'or Cimmérien de 1200 ans av J-C dans la steppe au nord de la mer Noire, de l'or Scythe de 800 ans av J-C au nord de la mer Caspienne, des objets de bronze des Xiongnu de 600 ans av J-C proche du lac Baïkal et Chita, etc.) mais aussi de nombreux pétroglyphes, qui chez eux a valeur d'art.

Les tribus qui nomadisent d'un pâturage à l'autre dans les vastes steppes sont les ennemis naturels des communautés fixes qui ont choisi de mener une vie sédentaire basée sur l'agriculture. Ces nomades qui ne possèdent que ce qu'ils peuvent emporter, alors que les cultivateurs accumulent des surplus, sont attirés par toutes ces richesses. Celles-ci deviennent vite un butin tentant.

Ainsi, ce monde nomade si souvent opposé et parfois complémentaire au monde sédentaire sera un facteur important de l'histoire de la Chine, de la Russie et de toute l'Asie centrale jusqu'à ce que les canons et les mousquets auront raison de l'avantage naturel dont disposait l'archer monté à cheval.

Vous verrez que l'histoire de tous ces "Peuples Cavaliers" est très complexe.

Ils sont divisés en tribus, elle-même composées de clans. Ils étaient en perpétuel mouvement, quelquefois sur de longues distances et leurs allégeances étaient de courte durée car ils n'étaient attachées à aucun territoire particulier et se poussent les uns les autres. Quand nombres d'entre eux fusionnent ils prennent alors un autre nom, d'autres encore sont absorbées par de plus puissants.

Les spécialistes ont regroupé les peuples des steppes en trois principales familles linguistiques :

- Indo-Européenne (Scythes, Sarmates)
- Altaïque( Türks, Mongols et Toungouse).
- Ouralienne ou Finno-ougrienne (Magyars, Finnois, Lapon, Samoyède)

Il est aussi utile de s'intéresser à l'évolution de leur identité religieuse.

Depuis les Chamanistes, les Manichéistes, les Nestoriens, les Bouddhistes et enfin , les Musulmans on peut comprendre et suivre leurs mouvements.

Parmi les indo-européens, on trouve Les Cimmériens, les Scythes et les Sarmates déjà cités dans l'histoire perse, grecque ou romaine.

Les Scythes, qui arrêtèrent l'expansion vers l'est d'Alexandre le Grand et entrèrent comme mercenaire dans ses armées, dominèrent le nord de l'Asie Centrale et des tribus apparentées, les Yue-tche occupaient le Kansou et les oasis du bassin du Tarim quand les Han (Chinois) ont commencé leur expansion vers l'ouest en 200 av J-C.

Les Yue-tche, expulsés du Kansou par les Han et du Tarim par les Xiongnu, se déplacent alors vers l'ouest dans les terres scythes et les deux en fusionnant envahisent la Bactriane grecque autour de 150 av J-C donnant naissance à la dynastie indo-européenne Bouddhiste Koushâna qui domina le nord de l'Inde, l'Afghanistan et la Sogdiane jusqu'au IIIème siècle ap J-C.

On peut penser que les Tadjiks d'aujourd'hui sont des descendants de ces tribus, convertis à l'Islam. Leur langue indo-européenne est semblable au Persan mais ils sont entourés maintenant par des peuples turcs parlant l'Ouzbek, le Kirghiz et l'Ouïgour.

On suppose que la culture et la langue turque est nées au Vème siècle av J-C autour du haut du bassin du fleuve Ienisseï dans la Sibérie d'aujourd'hui.

Des tribus turcophones émigrent de ces terres vers l'ouest dans les steppes, au nord des lacs Aral et Balkhach où elles donnent naissance aux Huns qui plus tard, au IVème siècle ap J-C , arrachent aux tribus autochtones indo-européennes le contrôle des plaines entre l'Oural et les montagnes Carpates. Un siècle plus tard ces féroces cavaliers vont semer la terreur en Europe sous la direction du célèbre Attila.

D'autres Türks (bien plus tard) fonderont la dynastie des des Türks Seldjoukides et celle des des Türks Osmanlis (Ottoman).

A la même époque qu'Attila, d'autres tribus turcophones émigrent vers l'est dans les steppes au nord de la Chine où elles sont connues sous le nom de Xiongnu par les Chinois dès le 4ème siècle av J-C. La fameuse muraille de Chine est construite par les dynasties Qin et Han pour se défendre des razzias de leur redoutable cavalerie.

(Lorsque les Xiongnu entreront en décadence aux environs de 600 ans ap J-C, une partie de leurs tribus se fédèrent et prennent le nom d'Oghouz).

La chute de la dynastie Han en 220 ap J-C laisse une Chine faible et divisée et un siècle plus tard les Türks T'o-pa conquièrent le nord de la Chine, adoptèrent le Bouddhisme et le style de vie des chinois et fondèrent la dynastie des Wei du Nord

Pendant ce temps, apparaissent des tribus parlant le mongol et dirigées par des "Khans". Elles viennent de l'est de la Mongolie et de la Mandchourie et commencent leur expansion vers les steppes du nord précédemment occupées par les Xiongnu turcophones.

Au Vème siècle l'empire 'mongol' des "Jouen-Jouen" contrôle les steppes depuis la Mandchourie jusqu'au lac Balkhach y compris plusieurs tribus turques comme les Kirghiz de l'Ienisseï.

Ce premier empire mongol est cependant de courte durée. En effet, Boumin, un vassal türk, se rebelle et écrase complètement ces Mongols en 552 ap J-C avec l'aide des Wei du nord qui se sont souvenus de leurs origines turques.

Boumin prend le titre de Khan des Türks Bleus (ou Tujue) dont les Khanats de l'Ouest et de l'Est dominaient les steppes du nord, depuis la Mandchourie à la mer Aral. Le Khanat de l'Ouest existera pendant plus d'un siècle. Mais ces tribus se disperseront dès l'expansion des Tang vers l'ouest en 651.

Par contre, le Khanat de l'Est, connaît un meilleur sort car il s'est étendu sous la direction du Khan Motcho qui, avant sa mort en 716, a soumis plusieurs tribus turques indépendantes comme les Kirghiz de l'Ienisseï et les Qarluq de l'Ili. Il tombe malgré tout en 744 à la suite de la rébellion des tribus Basmil, Qarluq et Ouïgour.

Les Ouïgours fondent sur ses ruines leur propre dynastie. Elle durera un siècle (744 - 840). Les Ouïgours (des environs du fleuve Selenga), développent l'un des premiers alphabets turcs en adaptant l'ancien alphabet sogdien à la consonance des phonèmes turcs.

A la suite de la défaite des Tang sur le fleuve Talas en 751, la Chine est expulsée de l'Asie Centrale et subit pendant huit ans une guerre civile menée par le mercenaire mongol Nan Luchan.

L'Empereur Tang demande alors l'aide du Khan Ouïgour, lui donnant en échange la main d'une de ses filles.

Le Khan Ouïgour Mo-yen-cho accepte et aide les Tang à reconquérir Luoyang en 757. En 762 son fils Teng-li Meou-yu reprend de nouveau Luoyang des mains des rebelles pour les Tang. Il y rencontra des missionnaires Manichéens qu'il ramena avec lui en Mongolie pour convertir son peuple. L'écriture Ouïgoure, la religion Manichéenne et les fréquents échanges amicaux entre leur capitale Qara-Balgassoun et la Chine eurent pour effet de civiliser mais aussi d'affaiblir les Ouïgours.

Et la même histoire continue.

Ils sont envahis en 840 par les Kirghiz, restés sauvages, qui les replacent au cœur de la Mongolie. Vaincues, les tribus Ouïgoures émigrent dans les oasis du bassin Tarim où ils sont encore de nos jours.

Plus tôt, en 686, les Kithan, tribus mongolophone, se sont établis dans la région du fleuve Liao en Mandchourie et pillent la Chine du nord. Les Tang affaiblis obtinrent (en payant) l'aide du Khan Motcho des Türks de l'Ouest pour les écraser durement en 697.

L'expansion des Kithan est ainsi retardée de 3 siècles. Elle a lieu quand même en 929 quand les Kithan chassent les tribus Kirghiz (qui avaient remplacé les Ouïgours), jusqu'au Ienisseï et même plus loin dans les steppes occidentales près de la mer Caspienne.

Les Kithan établisent leur hégémonie sur la Chine du nord, de Datong à l'ouest de Pékin jusqu'à la Mandchourie et dominent les sauvages tribus mongoles Djurtchet (ancêtre des Mandchous). Au bout d'un peu plus d'un siècle les Kithan perdent (à leur tour) leurs habiletés de guerriers nomades et tombent devant la rébellion de leurs vassaux Djurtchet de l'est, toujours puissants.

Les Djurtchet envahissent les territoires Kithan en 1114. Ils fondent la dynastie "chinoise" des "Kin" et continuent jusqu'à chasser les Song de Kaifeng à Hangzhou sur la côte sud en 1132.

A l'ouest, l'Empire Samanide Iranien est divisé en 999 entre les Sultans Musulmans türks Ghaznavides de l'Afghanistan qui dominaient le Khorâssân au sud de l'Amou-Daryâ et les Khans Musulmans türks Karakhanides de l'Issik Kul et de Kashgarie qui prirent la Transoxiane et les steppes au delà du Syr-Darya.
Profitant des conflits entre ces deux états, un troisième groupe de tribus turques du nord de la mer Aral, les Seldjouk, entreprennent leur expansion qui couvrira le Khorâssân, la Perse, l'Irak et la Turquie autour de 1040.

En Europe, à cette époque, ce sont les Pètchenègues qui entre en conflit avec les Byzantins.

Quant à la Chine, à la fin du XIIème siècle, elle est divisée en une partie sud gouvernée par la dynastie chinoise des Song à partir de leur capitale Hangzhou et le nord, gouverné par les Djurtchet mongols, se faisant appeler la dynastie Kin, à partir de leur capitale Pékin.

A la même époque, le corridor du Kansou est tenu par le royaume tibétains des Tangut( ou Si-Hia) et les territoires ouest jusqu'au Syr-Darya est entre les mains des Kara-Khitaï dont les vassaux, les Karakhanides occupent la Kashgarie pendant que les oasis du Tarim sont occupés par des Ouïgours qui s'étaient convertis, les uns au Bouddhisme, les autres au Christianisme Nestorien.

La Transoxiane et la plus grande partie de la Perse est aux mains des Shahs türks Musulmans du Khwârezm. C'était cela l'Asie sédentaire. Les steppes, patrie des nomades, étaient partagées entre diverses tribus indépendantes, certaines turques (Kirghiz, Kéreyit, Ouïgours), d'autres mongoles (Oïrat, Tatar) ou encore turco-mongoles (Naïman, Merkit).

Et voici qu'entre dans l'histoire un certain Temudjin, ce garçon, qui deviendra Gengis Khan, est né en 1155 sur l'Onon, un affluent de l'Amour qui constitue la frontière nord-est actuelle entre la Chine et la Russie. Orphelin à 12 ans, il passa son enfance dans une pauvreté extrême qu'il supporta avec l'aide de son frère Qassar.

A 20 ans il épouse Börté, la fille d'un chef de clan et devient le vassal de Toghril, roi des Kéreyit, qui plus tard va l'aider à délivrer sa femme kidnappée par une tribu Merkit.

En 1196 il est élu Khan des tribus mongoles et prend le nom Gengis. Deux ans plus tard, Toghril et lui vaincront les Tatar qui avaient tué son père. En 1203 il défait Toghril et les Kéreyit se soumettent à son pouvoir. L'année suivante, c'est le tour des Naïman d'être battus et de se soumettre. En 1206 un grand quriltai (assemblée) de toutes les tribus mongoles et turques, tenu sur les rives du fleuve Onon, proclame Gengis "Khan Suprême" de "Tous Ceux Qui Habitent des Tentes de Feutre".

Les Mongols sont enfin unifiés, la première tache de Gengis Khan est réalisée.

Il entreprend alors de bâtir son empire en soumettant le royaume des Tangout (Si-Hia) qui tenait Kansou en 1209. Il prend Pékin des mains des Kin et les forçe à se retirer à Kaifeng en 1215. Il accepte l'allégeance volontaire du Kara-Khitaï (Ili, Talas, Issik Kul et Kashgarie) et en 1218, il envahit l'Empire de Khwârezm, prenant la ville de Samarkand en 1220 et la ville d'Ourgendj en 1221.

Ses généraux Subotai et Djébé pillent la Perse, l'Azerbaïdjan et la Géorgie. Ils passent au nord du Caucase, battent les tribus turques kiptchaq et leurs alliés Russes et prennent Kiev en 1222 (voir --> la chevauchée de Subotaï)

Finalement, Gengis Khan meurt en 1227 alors qu'il ravageait les rebelles Tangout (Si Hia) dans le corridor de Kansou.

A la mort de Gengis Khan, son second fils Djaghataï, hérite des territoires entre l'Amou-Daryâ et la Chine, Khubilaï Khan hérite de la Chine (qui ne comprend pas le Xinjiang actuel), Les fils de Djötchi héritent du khanat kiptchak et des steppes russes et Hülegü Khan hérite de l'Iran.

Au XIVème siècle, le Khanat de Djaghataï se divise en une branche sédentaire qui se convertit à l'Islam, adopte l'agriculture et s'établit en Transoxiane au sud du Syr-Darya et une branche nomade qui garde le style de vie des mongols et reste maîtres du Mogholistan entre le Syr-Darya et la Chine.

Un autre personnage arrive sur les chemins de l'histoire. Timour lang, un vassal Türk des Mongols Djaghataï en Transoxiane vainc ses maîtres et devint le fléau d'Asie Centrale. Il sera connu sous le nom de Tamerlan .

A sa mort en 1407, son empire s'étend de la vallée Ferghâna la Mer Noire. Mais son fils Chah Rokh ne peut empêcher l'empire Timouride de se désagréger en territoires rivaux. Après des décennies de lutte, l'Azerbaïdjan, l'Irak et la Perse tombent sous l'autorité des Turcomans. A l'est, les Djaghataï renforcent leur emprise sur le Mogholistan sous leur Khan Younous autour 1480.

Autour de 1350 et après la dislocation de l'empire de Tamerlan, la 'horde' Chaïbanide (de Chaïban, fils de Djotchi et petit-fils de Gengis Khan), qui occupe les territoires au sud-est des montagnes de l'Oural et comprenait quelques tribus Kirghiz, prend le nom de Ouzbek à la mémoire du Khan Özbeg des kiptchaq qui avait converti la plus grande partie de sa horde à l'Islam un siècle plus tôt. Une mésentente perpétuelle entre les descendants affaiblis de Tamerlan laisse alors la Transoxiane ouverte à l'invasion.

Les Ouzbeks envahissent le Khwârezm (au sud de la Mer Aral), et la Transoxiane (l'Ouzbékistan actuelle) où ils prennent Samarkand en 1500. Quand ils commencent à s'adapter à la vie sédentaire, (encore et toujours la même l'histoire), les Kirghiz et d'autres tribus dissidentes (qui seront connus sous le nom de Kazakhs ou "aventuriers révoltés") se séparent des Ouzbeks et créent une horde indépendante dans le nord du Mogholistan avec la bénédiction du Khanat Djaghataï.

Ce site étant normalement consacré au Moyen Age, nous pourrions nous arrêter ici.

Par curiosité, continuons un peu à remonter le temps à travers les siècles.

Toujours vers 1500 (ap J-C), les tribus mongoles Oïrat commencent leur expansion hors de leurs territoires traditionnels à l'ouest du lac Baïkal. Ils chassent les Kirghiz qui restaient, des environs de l'Ienisseï et persécutent les Kirghiz-Kazakh. Ceux-ci se déplacent alors vers l'ouest et se séparent en trois hordes; la Grande Horde, qui s'installe entre le Tian Shan et le lac Balkhach, la Petite Horde qui va vivre entre le fleuve Oural et la mer Aral et la Moyenne Horde, au nord des deux autres. Ils deviendrons les Kazakhs d'aujourd'hui.

Autour de 1560, les tribus Kirghiz-Kazakh s'installent dans la région de l'Issik Kul et est deviendrons les Kara-Kirghiz, les ancêtres des Kirghiz d'aujourd'hui. Les derniers Khans Djaghatai seront laissés avec seulement la Kashgarie qui ne tarda pas à se disloquer en plusieurs petits royaumes Khoja.

Pendant ce temps, les Oïrat en pleine expansion fondent l'Empire Djoungar en 1680 soumettant l'ouest de la Mongolie, l'est du Kazakhstan, le Tian Shan, et la Kashgarie.

Persécutés par les Oïrat, les trois hordes Kazakhs acceptent la protection des Russes qui bâtirent une série des forts mais presque rien d'autre, jusqu'à ce que les Mandchous déciment la population Oïrat, liquident l'empire Djoungar et annexent la Kashgarie en 1760. Puis les Russes viennent annexer les territoires Kazakhs et envoient des colons Cosaques pour travailler la terre.

La grande liberté des "Peuples Cavaliers" d'Asie centrale est sur le point de disparaître.

Vous retrouverez tous ses peuples et de nombreux autres renseignements complémentaires dans les articles de ce 'site'.

Des articles, vous pourrez en lire plus de 1000, cependant, je n'ai pas la prétention de vous faire découvrir la totalité de l'univers des 'Peuples Cavaliers'.

En effet, ce 'site' n'est qu'un tout petit avant goût et une invitation à en découvrir toujours plus.

Dans la rubrique 'La Grande Bibliothèque' vous trouverez une liste d'ouvrages qui vous permettrons de continuer le voyage.

Et dans la rubrique Mes Sources vous trouverez les ouvrages qui m'ont aidés à réaliser ce 'site'.

Je vous souhaite une très bonne lecture.

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Armée mongole de Ghazan, khan gengiskhanide de Perse de 1295 à 1304 / Source : manuscrit réalisé à Hérat, vers 1430, Bibliothèque Nationale de France.